Besoin de découvertes, de nouveauté avec charmant homme dirigiste attiré par l’exhibition en région parisienne (Bondy). Disponible sur le tchat SM pour premier contact. Premier contact via plan cul où je souhaite être dominée, soumise à vous mais sans BDSM réel. Je suis surtout attirée par la cérébralité ! Véhiculée, débitante mais très motivée. Pour jeux en extérieur avec défis, mise en place de scénario hard… risqué… dans les limites du raisonnable évidemment. J’ai 43 ans, divorcée, très naturelle. Douce mais pas réservée. Juste besoin d’un alter ego pour réellement aller plus loin dans mes envies, ma quête de découverte est réelle. Homme mur uniquement merci.
Je ne suis pas un Alpha.
Comme je le regrette !
Vous êtes belle mais plus, vous assumez.
C’est la plus belle photo que n’ai jamais vue.
Offerte, à ma convoitise, votre visage retient l’attention, après vos cuisses écartées, je reste figé sur votre visage, alors que…
Je suis trop vieux pour votre profil, je n’ai jamais autant regretté ma viellesse
Merci de vous exhibée, de me rappeler ce temps où je ne regarderai pas les photos mais la plus grande oeuvre de la nature : le corps des femmes.
Vous me faites tout de même rêver…tous les jours. Merci !
Que ne suis-je le descendant de Courbet.
Vous êtes le modèle du « matin du monde » moderne !
Vous êtes Johanna, mais je ne couperais pas le visage, comme Gustave, puisque vous l’exposé.
J’ai essayé, je vous l’avoue, humblement, d’imprimer en grand votre intimité, pour qu’elle accompagne mes jours, je n’ai put.
Dommage je me contente de ce site. Puissiez-vous y rester longtemps.
Je voudrais, aussi, être un loup assoiffé de siprine l’apant votre abricot, jusqu’à nous faire perdre raison!
Je voudrais, aussi être un guerrier Mongol, qui ayant vaincu votre tribu, vous possederait sauvagement, avant de vous enmener, pour toujours, sur son cheval dans l’immense steppes.
Vous pourrai vous inonder de messages, mais, bien sûr, je cesserai d’un mot. Je ne veux pas me brouiller avec MON fantasme.
Je vais rêver devant vos écartés !
A quoi pensez-vous ?
Les cuisses écartées, me donnant à contempler votre intimité, votre fente et votre petit trou, à quoi pensez-vous ?
Je détache mes yeux de mon envie, de ma convoitise, pour scruter votre visage.
Sur ses lèvres, ne vois-je il pas, l’ébauche d’un sourire, et vos yeux perdus dans l’infini, dans cette nature qui vous entoure, votre visage exprime le bonheur. Celui de vous exhiber,
de me faire chaviré, moi et beaucoup d’autres,ou est-ce le bonheur que vous partagerez, bientôt avec celui, ou celle, qui prend la photo ?
A quoi pensez-vous ? Ne le saurai-je jamais !