Histoire d’initiation au bondage entre sexfriend – Elle veut se soumettre !

Envoyer un message sur J&M Sadomaso

Ma sexfriend et moi-même adorons pimenter nos relations intimes par quelques jeux de bondage. Rien de vraiment extrême, juste l’attirance vers de nouvelles sensations et le goût pour certains fétichismes. En général, nous nous attachons l’une l’autre chacun son tour et tentons de pousser sa/son prisonnier jusqu’à l’orgasme. En prenant soin de maitriser l’Art du Edging, c’est-à-dire repousser le plus possible le moment de la jouissance, l’instant est toujours magique.

J’adore voir Candide uniquement vêtue en escarpins et lingerie fine, menottes en métal aux poignets et aux chevilles, totalement offerte. D’ailleurs, en pratique, elle libère de plus en plus son côté masochiste, m’appelant « maitre » d’un ton provocateur, comme si elle voulait tester mes limites. Un soir, après un apéro plus alcoolisé que d’habitude, nous nous sommes lancés dans les habituels préliminaires. Je lui ai ficelé les mains dans le dos et j’ai commencé à la lécher… appréciant son délicieux jus de femelle coulant entre mes lèvres, décidé à la faire fondre de bonheur.

D’habitude, elle se laisse aller au plaisir mais cette fois-ci, cette catin est sortie de sa zone de confort. Elle a brutalement refermé ses jambes et fait mine de vouloir se libérer. Durant ses premiers déhanchés, elle m’a lancé un petit clin d’œil, signe que le roleplay venait de commencer et qu’il fallait que je me montre à la hauteur.

« Si j’arrive à me détacher, je redeviens libre et te quitterai pour toujours ! De toute façon ta pauvre bite n’est pas à la hauteur de ta princesse, tu n’es qu’un sous-homme qui ne me mérite pas… un vrai mâle m’aurait déjà mis à sa botte et fais de moi sa chose ! »

Le message était clair, cette petite salope était désireuse de pousser plus loin ses aspirations pour le SM et le bondage hard ! Le shibari sensuel dans une ambiance pornochic, c’était bien gentil… mais l’expérience devait aller bien plus loin. J’ai hésité à libérer l’âme du dominateur sadique qui sommeillait en moi, comme si je craignais le passage de ce nouveau cap dans notre relation, envisageant qu’il ne serait plus possible de revenir en arrière et entretenir une sexualité « normale » par la suite.

Au final, mon cerveau s’est débranché de lui-même. Mon membre s’est raidi, je me suis levé d’un bon et fouillé dans le meuble de la cuisine. J’en suis revenu avec un rouleau de chatterton en main, ne lâchant pas mon esclave des yeux. J’en ai arraché une bande et lui ai collé sur les lèvres

« Tu veux jouer petite pute ? Bien, mais selon mes règles. Je connais tes limites depuis que je lime ta chatte et ton cul de garce, aujourd’hui, nous allons les outrepasser »

Elle me regardait fixement, les yeux écarquillés, je pouvais lire quelques doutes… peut-être la crainte de m’avoir trop frontalement provoqué, mais son excitation était palpable. Un petit signe de tête me confirma que j’avais carte blanche.

Je suis allé rapidement sur le balcon récupérer une corde à linge. Peu équipé en accessoires de bondage, il fallait que j’improvise pour mener à bien cette séance de soumission. J’ai commencé par attacher les bras de Candice ensemble alors que ma queue se raidissait au point d’en devenir douloureux. Elle ne pouvait maintenant plus que remuer les jambes, problème que je réglais très vite en attachant chacune de ses chevilles au barreau du lit.

Jamais je n’avais connu ma fidèle fuckfriend dans une position aussi avilissante ! elle était allongée sur le dos, fermement ficelée, le corps entravé, les jambes relevées et écartées comme une dinde à farcir. Je ne pouvais plus percevoir son ressenti au travers son regard, elle était comme choquée, dans un autre monde… son souffle était roc et surtout… sa chatte était inondée de mouille.

« Bordel, mais ta chatte n’a jamais été aussi trempée, je ne t’aurai jamais imaginé autant salope » !

Sans trop réfléchir, je claquais son cul offert à la fin de ma phrase. Puis je pénétrai 3 doigts d’un coup dans la vulve brûlante, en quête immédiate de son poing G. Cela ne me ressemblait pas, j’avais toujours été un amant prévenant, prenant soin d’exciter progressivement ma partenaire avant d’entamer le coït. A croire que cela était bien trop romantique pour cette pétasse, qu’elle voulait être soumise à mes désirs inavouables.

Je remuais la main de plus en plus fort, le bas ventre de Candice se contractait de plus en plus intensément, son regard partait à la renverse. Un autre doigt, encore un autre : j’étais maintenant en train de la fister sans ménagement et le lit était trempé de ses éjaculations féminines à répétition. Elle voulait hurler de plaisir mais le bâillon improvisé la limitait à des gémissements plaintifs ultra excitants. Je retirais ma main engluée de sa cyprine, la toisant d’un air hautain

« Estime-toi heureuse que je te procure autant de plaisir… tu es maintenant ma chose et je peux faire de toi ce que je désire. On va voir si tu es capable d’être une esclave sexuelle digne de ce nom ! »

Je souhaitais terminer ce jeu de rôle de bondage en lui faisant goûter à une soumission totale ! Pour se faire, j’accrochais un bandeau autour des yeux de candice. Privée de paroles, privée de la vue, elle en était réduite à l’état de « trou » bonne qu’à purger mes couilles bien pleines.

Dans sa position, j’avais un accès direct à sa chatte béante, mais aussi à son cul ! La sodomie n’était pas tabou dans nos rapports, mais là encore, nous la pratiquions habituellement avec sensualité. J’étais curieux de tester la résistance anale de ma poufiasse. Pour une fois, elle allait se passer de gel ! Mon gland se colla à son trou du cul. Ce dernier était englué de sa propre mouille, je n’allais donc pas l’enculer totalement à sec. J’empoignai la nuque de candice et forçai l’entrée de son cul.

Je m’attendais à ce qu’il se referme comme une huitre, ce qui aurait surement mis fin à cette expérience de sexe extrême. Mais non ! Contre toute attente, son orifice accueillit ma queue avec une étonnante facilité. Je ne fis pas de va-et-vient pour la préparer, je m’enfonçai en elle d’une traite, jusqu’à ce que mes couilles viennent rebondir contre l’entrée de son anus.

Il était bouillant, la sensation était irrésistible ! J’avais beau vouloir prétendre à être le mâle alpha de ses rêves et me montrer endurant, mais c’en était trop. Après 3 coups de reins et malgré tous mes efforts, je ne puis plus me retenir de lui remplir le fion de ma précieuse semence.

Je suis resté planté en elle, sans bouger, laissant mon sexe se ramollir. Elle ne bougeait plus, totalement souillée, les yeux mi-clos. Sur le moment, je me suis dis que j’étais allé peut-être trop loin, surtout que nous n’avions pas convenu d’un safeword avant que je la saucissonne en bondage et l’encule comme un porc.

Je la détachais avec soin, en silence… elle ne prononça aucun mot quand je lui redonnai la possibilité de parler. Un peu hébétée, comme dans un état second, elle partit aux toilettes et revint après s’être passée un peu d’eau sur le visage.

A son retour, elle fouilla dans son sac à main et en sortit un petit collier de cuir qu’elle attacha autour de son cou. Un sourire mutin éclaira enfin son visage, et elle me souffla à l’oreille, avant de m’embrasser avec dévotion :

« Achète une laisse pour la prochaine fois, car ce n’est que le début de mon éducation… »

Envoyer un message sur J&M Sadomaso

Fier de votre soumise/maitresse ? Exemples et 20 phrases pour féliciter votre esclave

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *